On peut se poser la question aussi autour d'Eduardo Saverin qui est plus ou moins le cocu de l'histoire. Les faits, c'est qu'aujourd'hui, il est milliardaire en dollars, parce qu'il a eu la chance d'être une connaissance d'un génie (j'éviterais de dire que c'était son meilleur ami, car ça, c'est le sentiment d'Eduardo. Zuckerberg semble parfaitement s'accommoder du peu de lien social qui caractérise son existence) et d'avoir quelques économies suite à un bon placement.
J'ai beaucoup aimé le parti pris du film, Rashômon (Paddy approved) style. Ce qui nous est montré n'est pas forcément la réalité, mais résulte des divers PV et témoignages recueillis au cours des procès. D'aileurs, l'avocate le dit bien à la fin (les témoignages sont exagérés à 85%. Le reste? Parjure.)
Enfin bref, j'ai vraiment trouvé The Social Network fascinant. C'est un film qui n'a tellement pas sa place aujourd'hui à Hollywood : pas de héros, pas de rebondissement toutes les 10 minutes, une ascension irrésistible sans l'inévitable chute à la fin. Je suis convaincu que ce film peut marquer une génération, comme Wall Street dans les '80. Aujourd'hui, pour être hype, mieux vaut être un nerd en claquettes qu'un trader en costard.
EDIT : et pis, y'a Rooney Mara. Elle a deux scènes et demi, mais elle bouffe l'écran d'une force. :smiley in love: Fincher l'a tellement adoré qu'elle a eu le premier rôle de son prochain film, un remake de The girl with the dragon tatoo.
J'ai beaucoup aimé le parti pris du film, Rashômon (Paddy approved) style. Ce qui nous est montré n'est pas forcément la réalité, mais résulte des divers PV et témoignages recueillis au cours des procès. D'aileurs, l'avocate le dit bien à la fin (les témoignages sont exagérés à 85%. Le reste? Parjure.)
Enfin bref, j'ai vraiment trouvé The Social Network fascinant. C'est un film qui n'a tellement pas sa place aujourd'hui à Hollywood : pas de héros, pas de rebondissement toutes les 10 minutes, une ascension irrésistible sans l'inévitable chute à la fin. Je suis convaincu que ce film peut marquer une génération, comme Wall Street dans les '80. Aujourd'hui, pour être hype, mieux vaut être un nerd en claquettes qu'un trader en costard.
EDIT : et pis, y'a Rooney Mara. Elle a deux scènes et demi, mais elle bouffe l'écran d'une force. :smiley in love: Fincher l'a tellement adoré qu'elle a eu le premier rôle de son prochain film, un remake de The girl with the dragon tatoo.
« Quand j'étais petit, j'avais des copains qui jouaient au basket-ball, et d'autres qui jouaient au baloncesto. » @ Sergio Ramos
En Espagnol, baloncesto=basket-ball.
En Espagnol, baloncesto=basket-ball.