24-01-2011, 11:20
Dans les nouveaux films sortis
Je viens de faire deux de chute.
Que je pourrais résumer par Label (en péril) et la bête (en puéril):
"Au delà". De Clint Eastwood. Aïe? le grand Clint enfile les perles du néant, chiant et prévisible comme la mort...sujet du film. Hormis la première séquence, digne d' un Hitchckok post moderne, le reste s'enlise dans un mélo indigeste, bourré de clichés. L'apport d'acteurs français, qui auraient -semble-t-il traduit et réinterpréter leur texte...erreur fatale-, est d'une nullité téléfilmique affligeante. Triste je suis. Je tiens Clint cinéaste en très haute estime, on va dire qu'il s'est égaré. Un détail au regard de son immense filmographie ou le début d'une mort annoncée. O Vieillesse ennemie....
"SomeWhere" de Sofia Coppola. Comment réunir les thèmes des très prometteurs Virgin's Suicide et Lost in translation, et accoucher d'un monstre de vacuité au milieu de nullepart. Voyage au bout de l'ennui arty ou comment filmer entre les choses de la vie (des stars) le temps mort de son nombril. L'intériorité joué au cinéma c'est comme le violon tsigane, ça ne supporte pas la médiocrité et la facilité. Aucune puissance hypnotique ce qui est rédhibitoire pour ce genre de narration. Déçu je suis, Après 3 films Sofia aurait déjà tout dit, finalement pas grand chose dirait-on.
Je viens de faire deux de chute.
Que je pourrais résumer par Label (en péril) et la bête (en puéril):
"Au delà". De Clint Eastwood. Aïe? le grand Clint enfile les perles du néant, chiant et prévisible comme la mort...sujet du film. Hormis la première séquence, digne d' un Hitchckok post moderne, le reste s'enlise dans un mélo indigeste, bourré de clichés. L'apport d'acteurs français, qui auraient -semble-t-il traduit et réinterpréter leur texte...erreur fatale-, est d'une nullité téléfilmique affligeante. Triste je suis. Je tiens Clint cinéaste en très haute estime, on va dire qu'il s'est égaré. Un détail au regard de son immense filmographie ou le début d'une mort annoncée. O Vieillesse ennemie....
"SomeWhere" de Sofia Coppola. Comment réunir les thèmes des très prometteurs Virgin's Suicide et Lost in translation, et accoucher d'un monstre de vacuité au milieu de nullepart. Voyage au bout de l'ennui arty ou comment filmer entre les choses de la vie (des stars) le temps mort de son nombril. L'intériorité joué au cinéma c'est comme le violon tsigane, ça ne supporte pas la médiocrité et la facilité. Aucune puissance hypnotique ce qui est rédhibitoire pour ce genre de narration. Déçu je suis, Après 3 films Sofia aurait déjà tout dit, finalement pas grand chose dirait-on.
En cas de morsure de vipère, sucez-vous le genou, ça fait marrer les écureuils