09-07-2012, 03:25
(Modification du message : 09-07-2012, 03:28 par Dieu sur terre.)
Je jure de vous dire toute la vérité sur Moi.
Je suis né de l'union de Jack et Danielle, fratrie descendante directe d'Hera et de Zeus, eux mêmes descendants directs de Cronos et de Gaia, ainsi de suite jusqu'à la création du monde tel que vous le connaissez aujourd'hui. Autant dire que des hommes de Mon standing ne sont plus légion. Je vous vois déjà en train de vous moquer de Moi derrière vos minuscules écrans, de faire les mariolles, et J'avoue que je ne goute que très moyennement vos grimaces. Libre à vous de vous gausser, mais la main de Mes divins frères ne tardera pas à vous châtier.
Bref, ou en étais-Je déjà? Ah oui voilà, Je suis donc né. Et Je suis né Olympien, comme tous les dieux de l'Olympe. Après une enfance paisible, J'ai pris Mon envol pour sauver le monde hellénique. Mes exploits, nombreux, ne sont plus à raconter. Je laisse aux autres le soin de le faire, Mon humilité m'incitant à prendre un peu de recul face à Ma grandiloquente grandeur. Sachez tout de même que sous le matricule d'Hercule se cache Ma personne. Je n'en dirai pas plus, de peur de trop en dire. Œdipe est un autre de Mes nombreux noms, et vous connaissez tous Mon histoire qui M'a poussée un jour à aller voir un oculiste, ancêtre de l'ophtalmologiste. Ce fou n'ayant plus toute sa tête, il Me conseilla de prendre un labrador pour lutter contre Ma cécité. Il s'est retrouvé la tête entre les jambes avant qu'il n'ait eu le temps de voir mon épée quitter son fourreau. Je ne dis pas ca pour vous faire peur, Je ne M'en tiens qu'aux faits.
Un jour de novembre, ou peut être d'octobre 94, entre deux yaourts, Mon colérique de grand-père, parfois charmant, parfois foudroyant, Me parle d'une cité phocéenne qui n'aurait d'égal que la somptueuse et ténébreuse Thèbes. Elle se trouve en Gaulle.
Ni une ni deux, n'écoutant que Mon coeur, Je décide de faire confiance à Mon illustre grand-père et de prendre Ma navette (aucune incohérence temporelle se cache dans se passage) pour rejoindre Massilia la sanglante et effervescente. Les dieux du stade M'ont ouvert en grands leurs portes, craignant Ma fureur sourde. Et quelle ne fut pas Ma surprise, quand ils Me proposèrent un pastaga avec des glacons d'une taille comparable à des icebergs. J'ai immédiatement compris que dans cette contrée, on voyait les choses en grand.
Les jeux olympiques qui étaient organisés sous Mes yeux, et en Mon honneur, Me laissèrent d'abord perplexe. Des hommes faibles de corps et d'esprit courraient après un objet rond appelé un ballon. Drôle d'idée, mais admettons. Le terrain était rempli de tapieS, plus vulgairement appelés des paillassons ou des carrées d'herbe Me dira t-on plus tard. Les spectateurs, d'abord effrayés par Ma présence (et Je les comprends) décidèrent de rester en dehors du stade. Ils faisaient la grève à la francaise, M'expliquait-on. Pendant ce temps, la divine équipe olympienne (tel que Je le décrétais après avoir assister à leur nombreux exploits) infligeait une sévère humiliation à l'équipe de Poitiers (il Me semble mais Je peux Me tromper. Mettez vous à Ma place, J'ai plus de 4000 ans de souvenir dans Ma tête). 3-0, score sans appel. Déjà un homme semblait se distinguer des autres, touché par une grâce divine. Je décidais de le nommer Cascarino et de l'élever au rang de demi-dieu de l'histoire Olympienne.
Les spectateurs revinrent au stade le match suivant, ayant rapidement compris que les dieux avaient décidés d'arrêter de les punir pour leur passé ombrageux. J'étais en effet le messager de la bonne parole de Zeus. Ma présence au stade garantissait succès et protections, et Ares, Athéna et Poseidon ne devaient plus agir que sous Mes ordres. Désormais, seul l'absence de sacrifice en Mon honneur peut provoquer une défaite dans les rangs Olympiens.
Quoiqu'il en soit, ce jour d'octobre 94 restera gravé dans la mémoire collective du club. C'est le jour ou Je suis arrivé au stade vélodrome pour la première fois. Prenez note que J'ai rapidement pris connaissance des faits passés du club et de ses joueurs, et que J'ai élevé au rang de demi-dieu de nombreux joueurs, tel Jean Pierre Papin et Marcel Dib. Les prochaines "canonisations" pourraient concerner André Pierre Gignac et la doublette Sena Nango/Nicolas Nkoulou si Mes prévisions divines se réalisent. Alors n'oubliez pas les prières et les sacrifices, humains de préférences. Je suis omniscient, donc oubliez définitivement les mensonges.
PS : je veux faire parti de la secte des optimistes, merci de m'accorder de nombreux droits.
Mon Dieu la longueur du post
C'est qui ce fou?
Je suis né de l'union de Jack et Danielle, fratrie descendante directe d'Hera et de Zeus, eux mêmes descendants directs de Cronos et de Gaia, ainsi de suite jusqu'à la création du monde tel que vous le connaissez aujourd'hui. Autant dire que des hommes de Mon standing ne sont plus légion. Je vous vois déjà en train de vous moquer de Moi derrière vos minuscules écrans, de faire les mariolles, et J'avoue que je ne goute que très moyennement vos grimaces. Libre à vous de vous gausser, mais la main de Mes divins frères ne tardera pas à vous châtier.
Bref, ou en étais-Je déjà? Ah oui voilà, Je suis donc né. Et Je suis né Olympien, comme tous les dieux de l'Olympe. Après une enfance paisible, J'ai pris Mon envol pour sauver le monde hellénique. Mes exploits, nombreux, ne sont plus à raconter. Je laisse aux autres le soin de le faire, Mon humilité m'incitant à prendre un peu de recul face à Ma grandiloquente grandeur. Sachez tout de même que sous le matricule d'Hercule se cache Ma personne. Je n'en dirai pas plus, de peur de trop en dire. Œdipe est un autre de Mes nombreux noms, et vous connaissez tous Mon histoire qui M'a poussée un jour à aller voir un oculiste, ancêtre de l'ophtalmologiste. Ce fou n'ayant plus toute sa tête, il Me conseilla de prendre un labrador pour lutter contre Ma cécité. Il s'est retrouvé la tête entre les jambes avant qu'il n'ait eu le temps de voir mon épée quitter son fourreau. Je ne dis pas ca pour vous faire peur, Je ne M'en tiens qu'aux faits.
Un jour de novembre, ou peut être d'octobre 94, entre deux yaourts, Mon colérique de grand-père, parfois charmant, parfois foudroyant, Me parle d'une cité phocéenne qui n'aurait d'égal que la somptueuse et ténébreuse Thèbes. Elle se trouve en Gaulle.
Ni une ni deux, n'écoutant que Mon coeur, Je décide de faire confiance à Mon illustre grand-père et de prendre Ma navette (aucune incohérence temporelle se cache dans se passage) pour rejoindre Massilia la sanglante et effervescente. Les dieux du stade M'ont ouvert en grands leurs portes, craignant Ma fureur sourde. Et quelle ne fut pas Ma surprise, quand ils Me proposèrent un pastaga avec des glacons d'une taille comparable à des icebergs. J'ai immédiatement compris que dans cette contrée, on voyait les choses en grand.
Les jeux olympiques qui étaient organisés sous Mes yeux, et en Mon honneur, Me laissèrent d'abord perplexe. Des hommes faibles de corps et d'esprit courraient après un objet rond appelé un ballon. Drôle d'idée, mais admettons. Le terrain était rempli de tapieS, plus vulgairement appelés des paillassons ou des carrées d'herbe Me dira t-on plus tard. Les spectateurs, d'abord effrayés par Ma présence (et Je les comprends) décidèrent de rester en dehors du stade. Ils faisaient la grève à la francaise, M'expliquait-on. Pendant ce temps, la divine équipe olympienne (tel que Je le décrétais après avoir assister à leur nombreux exploits) infligeait une sévère humiliation à l'équipe de Poitiers (il Me semble mais Je peux Me tromper. Mettez vous à Ma place, J'ai plus de 4000 ans de souvenir dans Ma tête). 3-0, score sans appel. Déjà un homme semblait se distinguer des autres, touché par une grâce divine. Je décidais de le nommer Cascarino et de l'élever au rang de demi-dieu de l'histoire Olympienne.
Les spectateurs revinrent au stade le match suivant, ayant rapidement compris que les dieux avaient décidés d'arrêter de les punir pour leur passé ombrageux. J'étais en effet le messager de la bonne parole de Zeus. Ma présence au stade garantissait succès et protections, et Ares, Athéna et Poseidon ne devaient plus agir que sous Mes ordres. Désormais, seul l'absence de sacrifice en Mon honneur peut provoquer une défaite dans les rangs Olympiens.
Quoiqu'il en soit, ce jour d'octobre 94 restera gravé dans la mémoire collective du club. C'est le jour ou Je suis arrivé au stade vélodrome pour la première fois. Prenez note que J'ai rapidement pris connaissance des faits passés du club et de ses joueurs, et que J'ai élevé au rang de demi-dieu de nombreux joueurs, tel Jean Pierre Papin et Marcel Dib. Les prochaines "canonisations" pourraient concerner André Pierre Gignac et la doublette Sena Nango/Nicolas Nkoulou si Mes prévisions divines se réalisent. Alors n'oubliez pas les prières et les sacrifices, humains de préférences. Je suis omniscient, donc oubliez définitivement les mensonges.
PS : je veux faire parti de la secte des optimistes, merci de m'accorder de nombreux droits.
Mon Dieu la longueur du post
C'est qui ce fou?