11-04-2013, 08:18
Ce matin 3 remarques sur ce match que je n'ai pas vu car je ne regarde JAMAIS les matchs du QSG (question éthique). Un peu comme ceux qui critiquent la ligne éditoriale de L'Equipe mais qui l'achètent tous les matins. Moi je n'achète jamais L'Equipe et ne regarde jamais le QSG. Hygène personnelle, et respect de mes convictions.
1/ Le QSG est bien une équipe française. On la célèbre après une élimination. Ils ont prévu de descendre les Champs Elysées ? L'Equipe de ce matin n'a pas osé "Paris est magique" mais leur une du jour n'en est pas loin.
2/Le Barça sans Messi est une équipe normale et je m'étonne que certains semblent le découvrir. De même qu'après la retraite de Zizou, l'EDF est revenue dans le rang. Sans son joueur d'exception, le Barça n'inspire pas la même crainte et perd 50% de son potentiel. Sans Messi, le Barça aurait-il éliminé Milan au tour précédent ? Encore heureux qu'un club qui a investi plus de 300 M€ sur le marché des transferts puisse rivaliser avec un Barça sans Messi.
3/Quant à Ménès il faudra lui expliquer qu'avec l'argent on peut acheter des joueurs, des arbitres, des commissions de discipline, des journalistes, des consciences, des relais médiatiques mais on n'achète pas les coeurs.
1/ Le QSG est bien une équipe française. On la célèbre après une élimination. Ils ont prévu de descendre les Champs Elysées ? L'Equipe de ce matin n'a pas osé "Paris est magique" mais leur une du jour n'en est pas loin.
2/Le Barça sans Messi est une équipe normale et je m'étonne que certains semblent le découvrir. De même qu'après la retraite de Zizou, l'EDF est revenue dans le rang. Sans son joueur d'exception, le Barça n'inspire pas la même crainte et perd 50% de son potentiel. Sans Messi, le Barça aurait-il éliminé Milan au tour précédent ? Encore heureux qu'un club qui a investi plus de 300 M€ sur le marché des transferts puisse rivaliser avec un Barça sans Messi.
3/Quant à Ménès il faudra lui expliquer qu'avec l'argent on peut acheter des joueurs, des arbitres, des commissions de discipline, des journalistes, des consciences, des relais médiatiques mais on n'achète pas les coeurs.