Clarky a écrit :bah c'est pas des navets, c'est juste que chaque époque appelle une certaine production cinématographique, regarde ce qui sort en ce moment, violent, courses de titines, hémoglobine, scène de sexe quasi obligatoire, patriotisme puant parfois, bref plus grand chose de commun avé le ciné d'audiard, melville resnais, j'en passe et des meilleurs :paysan:
Pis le public change aussi, que tu le veuille ou non, on te formatte plus ou moins le ciboulot à une certaine consommation visuelle, apres faut juste savoir se replonger dans les valeurs sûres pour s'aérer la cabeza ;)
C’est comme le cinéma et la chanson, il n’y a plus rien de bon qui ressortira ou tout du moins quelque chose d’aussi transcendant. J’en reparlais ce week end en visionnant brièvement les « NRJ music Award » quand tu vois le nombre de daubes qui sortent et quand tu repenses au nombre de grand interpretes qui nous ont quitté. Pour le septieme art, le bilan est le même, il y a deux ou trois grands films par an et encore…
Oui il faut se replonger dans des valeurs sures, je suis de plus en plus nostalgique de cette époque là, que j’aurais voulu connaître davantage.