Adapter le roman originel, c'était un sacré pari (que tout le monde pensait irréalisable) et au final, c'est plutôt bien réussi. Ils ont du talent le frère et la soeur Wachowski
J'avais fait une petite chronique dessus à l'époque pour le boulot :
Librement adapté du roman « Cartographie des nuages » écrit par David Mitchell en 2004, Cloud Atlas est un film-concept à part entière. Avec un casting impressionnant (Tom Hanks, Halle Berry, Jim Broadbent, Susan Sarandon, Hugh Grant, etc …), on assiste à un enchevêtrement de multiples scénarios avec des particularités importantes : tous sont liés, tous sont joués par les mêmes acteurs dans des rôles différents et tous se déroulent dans des époques différentes (historiques ou futuristes).
Six destinées, six personnages : le jeune juriste Adam Ewing perdu au milieu de l’Atlantique en 1849 ; un compositeur talentueux, Robert Frobisher, en quête de reconnaissance de son génie en 1931 ; une journaliste implacable, Luisa Rey, dans le San Francisco de 1973 ; un éditeur raté, Timothy Cavendish, en 2012 ; une jeune serveuse asiatique d’un étrange restaurant coréen en 2144 ; et enfin Zachry, berger en quête de mysticisme dans une société futuriste, mais totalement primitive…
Ces ingrédients à priori totalement hétérogènes vont se mêler dans un film qui réussit une prouesse technique impeccable : nous immerger dans six univers, six époques, six histoires n’en formant qu’une au final. L’ensemble du film est réellement soutenu par la performance des différents acteurs, ces derniers se grimant au fur et à mesure, se mélangeant d’un personnage à l’autre jusqu’à se fondre et disparaitre derrière leurs rôles complexes mais passionnants.
J'avais fait une petite chronique dessus à l'époque pour le boulot :
Librement adapté du roman « Cartographie des nuages » écrit par David Mitchell en 2004, Cloud Atlas est un film-concept à part entière. Avec un casting impressionnant (Tom Hanks, Halle Berry, Jim Broadbent, Susan Sarandon, Hugh Grant, etc …), on assiste à un enchevêtrement de multiples scénarios avec des particularités importantes : tous sont liés, tous sont joués par les mêmes acteurs dans des rôles différents et tous se déroulent dans des époques différentes (historiques ou futuristes).
Six destinées, six personnages : le jeune juriste Adam Ewing perdu au milieu de l’Atlantique en 1849 ; un compositeur talentueux, Robert Frobisher, en quête de reconnaissance de son génie en 1931 ; une journaliste implacable, Luisa Rey, dans le San Francisco de 1973 ; un éditeur raté, Timothy Cavendish, en 2012 ; une jeune serveuse asiatique d’un étrange restaurant coréen en 2144 ; et enfin Zachry, berger en quête de mysticisme dans une société futuriste, mais totalement primitive…
Ces ingrédients à priori totalement hétérogènes vont se mêler dans un film qui réussit une prouesse technique impeccable : nous immerger dans six univers, six époques, six histoires n’en formant qu’une au final. L’ensemble du film est réellement soutenu par la performance des différents acteurs, ces derniers se grimant au fur et à mesure, se mélangeant d’un personnage à l’autre jusqu’à se fondre et disparaitre derrière leurs rôles complexes mais passionnants.