28-05-2019, 14:16
(Modification du message : 28-05-2019, 14:32 par Mr.Grieves.)
A la base, on parlait de cinéma de genre (alors c'est un peu fourre tout mais je pense pas être trop loin de Dobro quand je dis film d'horreur, de science fiction, fantastique, western, guerre, Zombies, etc etc)
Tout ce qui sort du triptyque Film auteur/Comédie/Drame qui doit constituer 90% du ciné francais (allez rajoutons en un quatrième avec le polar, même si on est loin des cadences des 70's)
Déjà, avant de parler de sous texte ou je sais pas quoi, quelqu'un peut me citer un film français d'horreur ou fantastique qui vaille la peine d'être vu, disons ces 15 dernières années ?
Là ou la suède t'envoie un OVNI comme Morse (j'imagine que c'est celui-ci auquel Dobro fait allusion) ou il suffit de passer les pyrénées et les espagnols te font une masterclass (l'orphelinat, le labyrinthe de Pan , etc etc la liste est trop longue), on oppose quoi nous ?
Le cinéma français subventionné s' arc-boute sur ses comédies, ses films d'auteur et ses dramas. les cinéastes un peu à la marge qui veulent faire du cinéma de genre, ben ils y arrivent pas (le cas de la meuf de Grave qui a été obligé de faire financer la moitié de son film en Belgique est symptomatique) ou ils s’exilent ( Alexandre Aja et quelques autres)
Est ce que Gondry aurait pû financer un truc aussi zarbi qu' Eternal sunshine of the spotless mind en France ?
On en est là.
Tout ce qui sort du triptyque Film auteur/Comédie/Drame qui doit constituer 90% du ciné francais (allez rajoutons en un quatrième avec le polar, même si on est loin des cadences des 70's)
Déjà, avant de parler de sous texte ou je sais pas quoi, quelqu'un peut me citer un film français d'horreur ou fantastique qui vaille la peine d'être vu, disons ces 15 dernières années ?
Là ou la suède t'envoie un OVNI comme Morse (j'imagine que c'est celui-ci auquel Dobro fait allusion) ou il suffit de passer les pyrénées et les espagnols te font une masterclass (l'orphelinat, le labyrinthe de Pan , etc etc la liste est trop longue), on oppose quoi nous ?
Le cinéma français subventionné s' arc-boute sur ses comédies, ses films d'auteur et ses dramas. les cinéastes un peu à la marge qui veulent faire du cinéma de genre, ben ils y arrivent pas (le cas de la meuf de Grave qui a été obligé de faire financer la moitié de son film en Belgique est symptomatique) ou ils s’exilent ( Alexandre Aja et quelques autres)
Est ce que Gondry aurait pû financer un truc aussi zarbi qu' Eternal sunshine of the spotless mind en France ?
On en est là.