18-12-2006, 01:15
Vu hier soir :
Une jeunesse comme aucune autre
Réalisé par Dalia Hager, Vidi Bilu
Avec Smadar Sayar, Naama Schendar, Irit Suki
Film israélien. Genre : Drame
Durée : 1h 30min. Année de production : 2006
Titre original : Karov la bayit
Très bon film exprimant les sentiments partagés des jeunes israëliennes, soumises au service militaire pour un conflit qu'elle ne comprenne pas, ou ne cautionne pas.
Deux jeunes filles que l'on suit dans le film patrouillent ensemble, dans les rues de Jerusalem, pour contrôler les arabes, sans vraiment savoir pourquoi. L'une est appliquée et obéissante, l'autre est une grande gueule qui s'en fout complètement. Et pourtant ...
Le scénario peut paraitre léger mais le fond du film est très fort. On s'aperçoit ainsi qu'il n'y a que peu de ressentiments anti-arabes parmis la jeunesse israëlienne qui n'aspire qu'à vivre en paix. Mais quand les politiques décident, on connait la suite.
Jeunesse insouciante, superficielle comme elle doit l'être à cet âge là, un joli hymne à l'adolescence sur fond de conflit interminable.
Réplique très intéressante :
"Shmadar, pourquoi est-ce que tu n'as contrôlé que 3 arabes hier ?"
"-Je ne sais pas"
"Comment ça tu ne sais pas ? Tu te fous de moi ?"
"Comment je peux reconnaitre un arabe ?"
3 étoiles sur mon étoilomètre
Une jeunesse comme aucune autre
Réalisé par Dalia Hager, Vidi Bilu
Avec Smadar Sayar, Naama Schendar, Irit Suki
Film israélien. Genre : Drame
Durée : 1h 30min. Année de production : 2006
Titre original : Karov la bayit
Très bon film exprimant les sentiments partagés des jeunes israëliennes, soumises au service militaire pour un conflit qu'elle ne comprenne pas, ou ne cautionne pas.
Deux jeunes filles que l'on suit dans le film patrouillent ensemble, dans les rues de Jerusalem, pour contrôler les arabes, sans vraiment savoir pourquoi. L'une est appliquée et obéissante, l'autre est une grande gueule qui s'en fout complètement. Et pourtant ...
Le scénario peut paraitre léger mais le fond du film est très fort. On s'aperçoit ainsi qu'il n'y a que peu de ressentiments anti-arabes parmis la jeunesse israëlienne qui n'aspire qu'à vivre en paix. Mais quand les politiques décident, on connait la suite.
Jeunesse insouciante, superficielle comme elle doit l'être à cet âge là, un joli hymne à l'adolescence sur fond de conflit interminable.
Réplique très intéressante :
"Shmadar, pourquoi est-ce que tu n'as contrôlé que 3 arabes hier ?"
"-Je ne sais pas"
"Comment ça tu ne sais pas ? Tu te fous de moi ?"
"Comment je peux reconnaitre un arabe ?"
3 étoiles sur mon étoilomètre